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Collectif Cieux Ouverts - Saint
4eme extrait de l'album "Abba Père". Album en prévente sur: http://bit.ly/AbbaPereCD Grille d'accords : http://www.intimeetranger.fr/wp-content/uploads/2016/02/Saint-Chords.pdf Tu es grand et él...
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Luc Dumont "Lumière du Monde"
Paul Baloche "Ouvre les yeux de mon coeur"
Brian Doersken "Live in Europe"
Luc Dumont "Live"
Embrase nos coeurs 2009
Stéphane Quéry "L'Espoir d'une génération"
Third Day "Everywhere you are"
Israël New Breed " Live a deeper level"
Luc Dumont "Live 2 Je peux tout"
U2 "Best Of 1980-2000"
La Bible d'étude "Esprit et Vie"
John Bunyan "Le voyage du pélerin"
Manga "Le Messie"
Manga "La Métamorphose"
Patrick Fontaine "L'Esprit de la promesse"
Loren Cunningham et David Hamilton
"Et pourquoi pas les femmes"
David Wilkerson "La croix et le poignard"
Bob Gosset "Le fruit de nos paroles"
Patrick Fontaine "Aux armes citoyens"
John Bevere
"Comment réagir quand vous êtes maltraités"
Bob Gass "Sa parole pour aujourd'hui"
Alain Auderset "Marcel"
Alain Auderset "Idées reçues"
Alain Auderset "Robi"
Georges Dawson "Life is so good"
Luis Sepulveda
"Le vieux qui lisait des romans d'amour"
Katherine Pancrol "Les yeux jaunes de crocodiles"
Katherine Pancrol "La valse lente des tortues"
Katherine Pancrol
"Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi"
Mary Ann Shaffer, Annie Barrows et Aline Azoulay-Pavcon
"Le Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates"
Myrielle Marc "Orfenor tome 1 - Natalène"
Myrielle Marc "Orfenor tome 2 - Tristan"
Eran Kroband "Petite plume"
Pierre Péju "La petite chartreuse"
Anna Gavalda "Ensemble c'est tout"
Antoine de Saint-Exupéry "Le petit prince"
Collectif Cieux Ouverts - Saint
4eme extrait de l'album "Abba Père". Album en prévente sur: http://bit.ly/AbbaPereCD Grille d'accords : http://www.intimeetranger.fr/wp-content/uploads/2016/02/Saint-Chords.pdf Tu es grand et él...
Glorious - Pour moi tu l'as fait - album : Promesse
Nouvel album "PROMESSE" en téléchargement https://glorious.fr/musique/62-promesse-2018.html Pour moi Tu l'as fait - Glorious 2018 © Philippiens 2, 5-11 Interprété par Marie Cazenave Même si p...
Entendre la voix de Dieu ... (52)
Un jeune homme avait participé, dans la soirée, à une session sur la bible. L'enseignement portait sur l'importance d'écouter Dieu et d'obéir à la voix du Seigneur. Le jeune ne pouvait s'emp...
En réalité, elle n’existe pas. Cependant, cachée quelque part dans l’esprit de pratiquement chaque femme, chaque mère, elle est bien vivante et provoque beaucoup de problèmes.
Sa maison est parfaite. Cette femme n’a pas de tiroirs à bric à brac, tout est toujours bien organisé et rangé. Son potager est une merveille agricole (bio, bien entendu). Elle coud comme un tailleur, conclut des affaires commerciales comme un PDG, prépare des repas pour les pauvres, et s'entraîne chaque jour à la salle de gym du quartier. En plus, elle fait tout cela avec une patience à toute épreuve, de la douceur et en souriant. Certains diront qu’il s’agit de la femme de Proverbes 31 mais ce passage nous a été donné pour nous inspirer.
Par contre la femme à laquelle nous essayons de ressembler est une contrefaçon créée par nos propres insécurités, qui nous poussent à nous sentir inférieures et condamnées.
Il s’agit d’une illusion de la mère parfaite qui fait que la plupart d’entre nous ont l’impression d’être des ratées, peu importe les efforts que nous fournissons.
Avez-vous étudié les femmes de la bible ?
Je crois que des mères comme Sara, Rahab et bath-Cheba peuvent vraiment nous inspirer. Je peux m’identifier à leurs imperfections et lacunes. Comme tout le monde j’ai commis beaucoup d’erreurs.
J’étais terriblement imparfaite dans mes premières années de mariage, en tant que mère, même quand Dieu m’a appelée à enseigner sa parole.
Mais cela n’a pas arrêté Dieu !!!
En tant que mère, vous pouvez être en confiance dans le fait que Dieu vous oindra et vous rendra capable d’être une bénédiction pour votre famille.
Tant que vous faites confiance à Dieu, Il vous aidera à réussir en tant que mère, et accomplira ses plans au travers vous, non pas parce que vous serez parfaite, mais parce qu’il est parfait !!!
"Maintenant donc, il n'y a plus de condamnation pour ceux qui sont unis à Jésus-Christ". Romains 8.1
Nous pouvons donc oublier la pression d’obtenir des résultats parfaits. Nous pouvons être plus à l’aise avec l’idée que nous faisons des erreurs, les admettre plus facilement, et aller de l’avant.
Nous pouvons vivre chaque jour dans une confiance totale et dire : “Je vais bien, je suis sur la route”. Oui, notre cheminement avec Dieu est progressif.
Dieu n’exige pas de vous la perfection, vous n’avez pas besoin de l’exiger de vous-même non plus. Il veut juste que vous lui abandonniez tous les aspects de votre vie. Vous n’avez pas besoin de faire tout, toute seule, mais de coopérer avec Lui pour mettre en oeuvre les améliorations nécessaires dans votre vie.
Vous pouvez vous détendre, et profiter de votre vie, sachant qu’Il prend plaisir en vous, et qu’il est en train de faire une bonne oeuvre dans votre vie.
Dieu prend plaisir dans le fait que vous l’aimez et que vous voulez apprendre et grandir. Quand Il regarde qui vous êtes, il voit la ressemblance même de Jésus et dit de vous ce qu’il dit de Lui : “Celui-ci est mon fils bien-aimé, celui qui fait toute ma joie” Matthieu 17.5
Il nous faut abandonner l’habitude de nous juger et de nous critiquer. Dites : “Je suis déterminée à faire de mon mieux chaque jour, et même si j’échoue, je ne serais pas remplie d’inquiétudes à ce sujet Je vais faire confiance à Dieu qui saura me parler et me montrer comment changer si j’ai fait quelque chose qui lui déplait vraiment.”
Publication tirée de "Top Chrétien" - Extrait du nouveau livre de Joyce Meyer " Maman ... et confiante"
JE ROULE AVEC Nathan Lambert, Guillaume Ben et Laurent Ruppy
Pour cette sixième émission JE ROULE AVEC, nous retrouvons Salomon et Nathan Lambert, Guillaume Ben et Laurent Ruppy. Pour rappel, JE ROULE AVEC est une émission à bord d'une voiture, dans un c...
Les scènes de violence observées dans les cortèges, ce samedi 1er décembre, doivent être pensées. Bien sûr, elles sont pour une part le fait d’organisations extrémistes, anarchistes à la poursuite de buts politiques chimériques mais dont on comprend aisément la signification.
Bien sûr, aussi, des casseurs s'insèrent dans le mouvement pour en découdre et grappiller des produits dans les magasins dévastés : appât du gain et appel du dégât. Mais il semble qu'une partie des gilets jaunes eux-mêmes avaient envie d'en découdre. Et surtout, la colère s'exprime aussi de manière verbale.
Les raisons de la colère
Les motifs avancés (pouvoir d’achat, taxes) se doublent de motifs souvent plus implicites autour du décalage entre les gouvernants, mais aussi le pouvoir économique, et ceux qui se pensent comme le peuple ou les citoyens. Cette thématique s’exprime d’ailleurs dans le choix des sites visés par les violences (Élysée, préfecture, banques, magasins de luxe, etc.).
Les individus ont le sentiment d’être délaissés, opprimés et dominés. En très grande partie actifs, leurs revenus ne leur permettent pas d’accéder aux moyens de leur autonomie malgré leur épuisement au travail. Cette promesse de pouvoir vivre de ses revenus n’est plus tenue. Pouvoir conduire sa vie à sa guise, faire ses propres choix, se livrer à des activités personnelles, tel était l’horizon. Comment satisfaire à cette norme de l’autonomie si le partage des richesses ne le permet pas ?
C’est ce que disent les couples qui avouent « ne pas s’en sortir » malgré leur travail, ou ces jeunes travailleurs qui ne peuvent pas quitter le domicile familial faute de revenus suffisants ou stables.
La colère naît de cette équation impossible qui est vécue sur le plan personnel puisque la notion de classe sociale a disparu des imaginaires. Les conditions de vie difficiles relèvent plus d’une expérience personnelle que d’une condition de classe.
La colère de soi
La colère n’est pas une passion nouvelle et la religion a cherché à la réguler en la plaçant parmi les pêchés capitaux. La sécularisation de notre société a fait disparaître ce mode d’apaisement.
Plus même, notre société d’individus qui se pensent comme autonomes valorise le rapport personnel à soi. La valeur d’authenticité, le succès du développement personnel, l’attention à soi, l’écoute de son corps, le caractère fondateur du sentiment dans le couple contemporain forment autant de traces de notre manière de nous penser.
À distance des cadres qui nous contraignent, il conviendrait de nous écouter nous-mêmes. Pourquoi rester avec mon époux quand je juge qu’il est insatisfaisant depuis si longtemps ? Comment continuer à exercer mon métier dans la finance alors que je pense à la sobriété heureuse ? Comment résister à l’appel du dernier album de Johnny alors qu’il a occupé une telle place dans ma vie ?
Une norme sociale nous recommande donc d’être à l’écoute de nos émotions. Et le succès des emoji ou émoticônes dans les échanges personnels (SMS ou messagerie électronique) en témoigne. De mille manières, les sentiments personnels orientent nos existences en leur fournissant des significations que nous avons chacun à construire.
Car si nous héritons de certaines références et valeurs, elles ne nous qualifient pas automatiquement à titre personnel. La valeur de la liberté est reçue et partagée, mais elle est un moyen plus qu’une fin. L’enseignement de la Seconde Guerre mondiale ne dit pas à chaque élève ce qu’il doit en penser à titre personnel.
Dans ce cadre, la colère n’est pas blâmable car elle est vécue comme un moment de rapport à soi. Je suis encore plus moi-même car en colère, au plus près du feu intérieur qui m’anime et m’illumine. « Je » est le carburant même de la colère. Celle-ci permet l’expression de soi à l’instar de l’œuvre pour l’artiste. Et, au fil des barrages ou des conversations sur Facebook, les individus ont l’occasion de rencontrer des alter ego avec lesquels partager et multiplier la colère qui demeure vécue comme personnelle.
Dérivation
Les syndicats et partis politiques ne peuvent plus encadrer cette colère. Ils sont soupçonnés d’instrumentaliser le mouvement voire d’altérer un point de vue pensé comme personnel. Le pouvoir se trouve confronté à un peuple d’individus dont une partie fait l’expérience de soi par la colère.
Par les sanctions, il faut rappeler que « la colère est mauvaise conseillère » comme la sagesse ancienne le suggérait. Il faut aussi entrer dans un processus pour ouvrir des perspectives, des voies de dérivation. L’absence de signes tangibles de prise en compte de cette colère est perçue comme un mépris non pas à l’égard de l’organisation puisqu’il n’y en a pas, mais à l’égard de chaque gilet jaune, et cela ne fait qu’alimenter ce sentiment.
S’il est nécessaire d’opposer des arguments rationnels aux impressions à l’origine de la colère, il l’est encore plus d’exprimer la prise en compte de la manière dont les individus vivent leur propre situation. Impossible de parvenir à la première sans la seconde. Il faut être audible pour être entendu, contrairement à ce que suggère Hubert Védrine.
Pour une pédagogie de l’individu
La colère retombée, il faudra tirer des enseignements de ce mouvement inédit. Du côté des politiques, la crise de la représentation touche profondément à la manière dont les individus se définissent. Leur revendication d’autonomie (de « souveraineté sur soi ») efface la légitimité a priori des intermédiaires.
Il n’est pas étonnant qu’apparaissent dans les premières revendications du groupe des « Gilets jaunes libres », l’instauration de référendum. D’autres pistes sont à explorer dont la constitution d’assemblées issues du tirage au sort sur les listes électorales.
Du point de vue des citoyens aussi il sera nécessaire d’engager une pédagogie de l’individu. La revendication de chacun à se construire de façon autonome est une source formidable de libération des individus contemporains. Nous avons cette chance de vivre dans cette société qui ouvre tant de possibilités à chacun, si loin des cadres rigides des sociétés corsetées du passé.
Mais cette liberté ne peut pas être sans limites. Elle suppose la prise en compte de la participation à une collectivité et l’attention à autrui. Comment mettre ensemble des individus qui se pensent autonomes dans un monde fini ? C’est à cette question vertigineuse qu’il nous appartient de répondre, tous et chacun.
Claude Poissenot, Enseignant-chercheur à l’IUT Nancy-Charlemagne et au Centre de REcherches sur les Médiations (CREM), Université de Lorraine
Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original : https://theconversation.com/la-colere-jaune-une-passion-personnelle-108023
© Publication extraite de Info Chrétienne